Wednesday, November 16, 2011

RITCHIE ... DE SAMAR !

C’est une histoire parmi des dizaines de milliers d’autres et toutes ces histoires se ressemblent. La différence est, qu’aux Philippines, nous sommes dans un pays catholique, je dirai même ultra-catholique, j’irai même jusqu’à dire ‘’extra catholique’’, par certains côtés en dehors (hors) de la religion que l’on nous a enseigné dans le pays de la fille ainée de l’église et le sexe ici, hors mariage, est considéré comme l’antichambre de l’enfer.


Imaginez, dans ces conditions, l’accueil que peut recevoir un travailleur du sexe, une jeune prostituée, une pute !


Le seul pays au monde où le divorce est interdit !

L’histoire pourrait se passer en Thaïlande, car la situation, à quelques différences près, y est la même, sauf que :
J’aurais beaucoup plus de difficultés à vous raconter l’histoire, ne parlant pas le Thaï (quelques mots) et la Thaïlande est un pays Bouddhiste.

Ritchie, de Samar, loin d’être à l’aise avec l’anglais, arrive néanmoins, avec des mots simples, à se faire comprendre de quelqu’un qui l’écoute attentivement.

Je la fais répéter, lui suggère des mots, la reprends parfois, lui parle avec des gestes, afin j’arrive à la comprendre et elle peut répondre à mes questions.

Si Ritchie, comme ses consœurs, quelles soient bargirls, gogogirls, masseuses, GRO … vivait en Thaïlande, au Cambodge ou au Laos, être une prostituée ne serait pas un problème pour elle. Dans ces pays, les filles sont pour la plupart, reçues à bras ouverts par les moines du village, quand elles retournent à la maison avec les $ qu’elles ont gagné dans les bordels de Bangkok, phuket ou Pattaya.
(Sont-ils plus pragmatiques, tolérants, réalistes, cupides, ou plus simplement une question de religion ?)


Manila, pour ceux qui s’aventurent la nuit en dehors des quartiers chics, est une jungle de béton, de bambou, de planches et de cartons, complexe, un cœur qui ne cesse de battre, une bête dangereuse, mystérieuse et stimulante.

Manila, étrange, unique et intrigante, étrange, car partout où vous allez, vous ressentez une certaine humanité. Du fait des expériences vécues ?


Combien de témoignages, visibles sur les visages de ceux qui vous entourent, vous font voir la réalité du mirage de la ville d’émeraude au bout du chemin mal pavé ? Combien de ces pauvres ères, qui ont abandonné leur province de misère pour l’Eldorado de la ville lumière, se retrouvent là, encore plus miséreux qu’auparavant, car sans la protection et l’affection de la famille ?

Le bout du chemin pour certains, un cul de sac pour d’autres, les illusions perdues pour tous.

Peu vont s’en sortir, aucun sans blessures profondes qui ne pourront cicatriser. Beaucoup se réfugient dans la religion, ils prient leur Dieu dans les églises alors que les religieux les fuient, que les ecclésiastiques les rejettent ! Allez faire un tour, de nuit, dans les églises ; vous comprendrez alors ce que foi et dévotion veut dire pour le peuple philippin. Black Nazareth de Quiapo, Baclaran Redemptorist Church de Pasay, Malate Catholic church de Malate.

Là où se concentrent les lumignons de quelques-uns des ‘’red lights districts’’ de Manille.
Coïncidence ou non ?

Les visages que vous croisez dans les rues vous racontent des histoires, des histoires abjectes de pauvreté et de ventres vides, des histoires de solitude et d’oublie, des histoires d’amer désappointement et de perte d’espoir.

Mais il y a également des histoires de courage, de détermination et de foi en Dieu.

La part de la culture philippine, contenue dans la valeur du ‘’bahala na’’ (littéralement la foi en Dieu, le ‘’ce qui arrivera doit arriver’’), a souvent été blâmé du fait que cela autorisait la contemplation, le manque de discipline et permettait d’échapper aux obligations les plus élémentaires.

Penons l’exemple d’une jeune femme qui se présente comme ’’Ritchie’’ pour ses clients, « Ritchie » qu’elle susurre toujours d’une voix sensuelle et séductrice.

Ritchie, âgée de 22 ans, est une de ces dizaines de milliers, pour la plupart totalement incultes, jeunes fille de province qui font le plus vieux métier du monde.

Elle travaille comme GRO (un doux euphémisme qui se traduit par Guest Relation Officer), dans un bar videoke de Pasay.


Comme toutes les filles de bar, Ritchie va vous accueillir avec un chaud sourire et une pose aguichante. Pour une relativement modique somme, selon nos standards, elle va vous accompagner dans votre chambre et faire plus ou moins bien ce que vous lui demanderez de faire.

Après que vous ayez pris une douche, car pas de douche, pas de sexe. Elle a des ‘’caoutchoucs’’ dans son sac et peut vous demander si vous souhaitez utiliser la chose. Si vous préférez travailler sans filet, ce n’est pas un problème, elle se remet immédiatement au boulot.

Elle prend une douche, revient près de vous, ferme les yeux, prend son rosaire et se met à prier, puis à pleurer en silence avant de se recoller à vous … et de s’endormir.

Ce que Ritchie ne vous dit pas et qu’elle ne peut vous dire, sauf si vous parlez le dialecte de sa région, ou tout du moins le visaya, c’est qu’elle est seule, aliénée, misérable, fatiguée et quelques fois proche du suicide.

Ce n’est pas si facile, pour une jeune paysanne timide, profondément ancrée dans sa foi religieuse, que de travailler comme prostituée dans la grande cité.

Comme la majorité de ces jeunes femmes, c’est une fille des montagnes.
Même si elle se prétend originaire de la ville de Catbalogan, elle vient en réalité d’un village reculé et isolé de l’intérieur, un village sans route ni électricité, un village de montagne (bundock).

Comme beaucoup, sinon toutes ces filles, Ritchie à un petit garçon de quatre ans qui vit et est élevé par ses parents, une source de problèmes pour elle. Son mari l’a abandonnée alors que le bébé n’avait que six mois et quelques semaines plus tard elle prenait le ferry-boat pour la grande ville.

Pas trop difficile, de nombreuses autres filles de la région ont pavé le chemin et trouver un travail ne fut pas une difficulté, principalement du fait de ses connaissances, mais aussi de sa beauté.

Au début l’expérience fut horrible, terrifiante, douloureuse et pénible.

Après quelques mois elle devint totalement imperméable, détachée de par l’esprit de ce qu’elle faisait avec son corps, rêvant éveillée d’une vie meilleure où elle serait avec son enfant.

Comme beaucoup, si ce ne sont pas toutes les filles de ce secteur d’activité, Ritchie est la seule source de revenus de la famille. Une fille qui travaille bien, en tant que GRO, peut se faire entre 14 et 15.000 pesos par mois (€ 250), deux fois ce que gagne une vendeuse et une petite fortune pour des gens d’une province retirée.


Elle revient chez elle deux fois par an, pour les fêtes de Noël et pour la semaine sainte et elle envoie chaque mois environ 80 % de ses gains à ses parents.

Elle vit dans un ‘’bedspace’’, un dortoir pour filles, dans un endroit dangereux, mais peu cher. Elle sait que de cette façon, en économisant au maximum, elle peut envoyer plus d’argent à la famille.

Là-bas, dans sa lointaine province de Samar, ils sont en train de terminer une nouvelle Nipa hutte. Ils étaient si pauvres auparavant que leur hutte n’avait même pas de mur pour les protéger des éléments et qu’ils étaient trempés à la moindre pluie.


Ritchie prie chaque nuit pour remercier Dieu de lui avoir accordé cette excellente source de revenus.

Ritchie vit avec ses démons, sa peur et ses angoisses.

L’angoisse de se faire arrêter, elle connait des filles qui se sont faites piéger par des policiers en civil avec qui elles avaient une ‘’affaire’’ dans une pièce arrière de l’établissement. Ceux en tenues arrivant au bon moment, l’affaire juste terminée.

Amendes plus viols collectifs.

Elle est angoissée d’attraper un herpes ou le SIDA (AIDS), elle sait que ses rapports non protégés comprennent une part de risque pouvant entraîner sa mort.

Elle sait aussi que certaines des filles avec qui elle travaille n’ont pas plus de quatorze ans et est affolée que ses plus jeunes sœurs puissent finir comme elles.


Elle est absolument déterminée à donner à son enfant et à ses jeunes frères et sœurs une meilleure vie, une vie différente de celle qu’elle a eue. Peu importe ce que cela lui coutera. Une de ses jeunes sœur, qui vient tout juste d’avoir 17 ans, s’est proposée de venir la remplacer, mais Ritchie a tout fait pour l’en dissuader et elle paye l’école et le collège pour ses trois plus jeunes sœurs.


Ritchie se trouve actuellement dans un cercle vicieux, un piège dont elle sait qu’il sera difficile de s’échapper. Presque quatre ans dans l’industrie du sexe, elle ne voit pas comment s’en sortir. Elle est certaine de voir sa famille retomber dans l’extrême misère, dès l’instant ou elle quittera le métier.

Son rêve le plus cher, trouver un mari ‘’Américain’’ qui la sortirait de son monde de déprime, qui l’amènerait sur la terre promise dans son grand bateau baptisé ‘’Liberty’’. Mais elle sait que les dieux, pas son Dieu, non, les autres dieux, sont contre ce rêve, que cela n’arrivera jamais.

Aussi prie-t-elle pour avoir la possibilité de mettre assez d’argent de côté pour pouvoir reprendre des études et retourner dans sa province, près de ses parents, de son enfant.


Comme la majorité des personnes exerçant cette activité, elle déteste la plupart de ses clients, mais elle apprécie, parfois, une personne polie et gentille qui la traite avec respect.

Elle n’est pas très éduquée, néanmoins à un niveau subliminal, elle a compris qu’elle gagnait sa vie dans la partie boucherie du marché et que son corps n’était que de la viande.


La triste réalité de son existence se confond dans un corps resplendissant arrosé de parfum bon marché, dans un épais maquillage, dans une tenue qui la met en valeur et dans une intense détresse, une peine humaine indescriptible, une sensation de dégradation et l’aliénation totale de sa personnalité.

Je précise que je suis marié à une femme (Pinay) extrêmement jalouse, que nous avons cinq enfants, que je suis un homme ‘’mort’’ si je touche une herbe plus verte ou plus tendre (ou même faisandée) et de plus je commence à prendre de la bouteille.


Néanmoins, mon expérience et mon savoir faire me permettent de m’entretenir, avec l’autorisation de ma chère et tendre, avec des jeunes filles et femmes, ceci afin de vous donner les informations nécessaires à une visite réussie au pays des 7.107 îles.

Pour ceux qui utiliseraient les services d’une Ritchie, Gael, Tché, Lena ou autres, s’il vous plait restez poli, soyez gentil et dans la mesure du possible traitez la (les) avec respect.

Merci d’avance pour elles.


A bientôt.


Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d'habitude sont les bienvenus.




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Monday, November 7, 2011

VIE NOCTURNE ... MANILLE, LA CAFÉ !

Ermita, Malate et le L.A. Café !

Il fallait bien que cela arrive un jour, il fallait bien que j’aborde le sujet. Quel sujet allez- vous me dire ? Hypocrites que vous êtes … le sujet qui vous tient tous à cœur. Le cœur étant pour certain bizarrement placé et le cœur ayant ses raisons que la raison ignore… de ce fait, je me lance.

Ce poste étant plus spécialement destinés aux messieurs, je conseille à mes sensibles lectrices d’aller, très momentanément, faire un petit tour sur mes autres blogs, bien que mes intentions soient de rester très sage, soft et dans la limite d’une conversation presque mondaine.
Juste quelques petites informations pratiques pour ceux qui seraient éventuellement tentés par une petite expérience locale, quitte à renouveler souvent l’expérience (quand on aime … on ne compte pas).


Bon, commençons par le commencement, ce qui est dans la logique des choses.
Contrairement aux autres pays d’Asie du sud –est, il y a peu, voire presque pas de vie nocturne aux Philippines … attention je parle de peu de vie nocturne en général, pas en particulier.

Dans la plupart des pays comme la Thaïlande, le Cambodge, le Vietnam, la Malaisie … nombreux sont ceux qui vivent la nuit, ceci pour éviter les fortes chaleurs de la journée. Pas ici, où l’on aurait plutôt tendance à vouloir copier les Etats-Unis en ce qui concerne les horaires, la nuit est faite pour dormir.
En province plus aucune activité à partir de la tombée de la nuit. Essayez de trouver un restaurant à huit heures du soir, vous m’en direz des nouvelles. Par contre, les vidéos-restaurants-bars, boui-boui et ils sont pléthore restent ouverts une bonne partie de la nuit.

Ceci étant pour la province reculée, cela fera le sujet d’un autre post.

Intéressons nous aujourd’hui à la vie nocturne (pas uniquement nocturne) sur la capitale Manille.
Si vous êtes un nouveau venu ou quelqu’un avec peu d’expérience de la vie locale, à 90 % vous allez descendre et loger dans un hôtel situé à Ermita ou Malate, peut-être Pasay … le ou les quartiers touristiques de Manilla. Rassurez vous ce n’est ni Bangkok, encore moins Pattaya ou Phuket. Il y a des étrangers, mais c’est loin d’être la foule. Quinze à vingt fois moins de touristes aux Philippines comparé à la Thaïlande, de plus le pays est très vaste et Boracay le ‘’petit Copa Cabana’’ local en attire 30 % à lui tout seul.


Peut-être avez-vous entendu parler de Makati ? Oui, mais Makati c’est plus le centre des affaires, la business area. OK, il y a d’excellents pubs, restaurants, discos, mais cela est plus réservé aux gens qui vivent et travaillent ici, locaux comme expats. Il y a également Burgos street, oui mais c’est cher et vous ne vous y amuserez pas vraiment. Non, le quartier … c’est Ermita, il vous faut découvrir Ermita et le L.A. Café, ou plutôt le ‘’Manila Bay café’’ comme cela s’appelle désormais.

Il y a d’autres quartiers ‘’chauds’’ à Manille, je vous citerais Quiapo, Sanra-Cruz, Cubao, les vaisseaux de Quezon-Avenue, les pick-up girls de cette même avenue, Roxas corner Buendia, etc. Mais vous aurez assez à faire avec Ermita pour un premier ou un second et même un troisième séjour au pays des 7.107 îles.


Vous arrivez à l’aéroport du NAIA (le Nino Aquino International Airport). Il y a trois terminaux, mais il y a de grandes chances que vous arriviez au Terminal Nº 1 sauf à arriver par un vol de PAL (Philippines Airlines) qui a son propre terminal, le Nº 2 ; le Nº 3 étant réservé pour les vols intérieurs et vols Internationaux de Cebu Pacific.
Attention, ne pas transporter de porno, de drogues, trop de bijoux ou de montres … risque de gros, très gros problèmes.
Allons changer un peu de monnaie, vous allez avoir besoin de pesos à la sortie de l’aéroport. Juste après avoir récupéré vos bagages, mais avant de sortir de cette zone, regardez, sur votre droite : Philippines National Bank, pas une mauvaise idée de changer là, c’est plus discret. N’oubliez pas de demander de la petite monnaie, en général personne n’a de change au-dessus de 100 pesos (2 €). Pour exemple 5 X 10P, 10 X 20P, 10 X 50P, 20 X 100 et le reste en 500 et 1.000 Pesos. Gardez juste une petite somme dans votre poche et cachez le reste dans un ou deux endroits différents, c’est une sage précaution.

Bon il vous faut rejoindre Ermita, là où se trouve votre hôtel. La meilleure solution le taxi, le Yellow cab. A quelques pas après la sortie des bagages allez au guichet des yellow cabs (extrême gauche) et demandez (en anglais) un ticket pour Ermita. Un aller pour Del Pilar street coutait 225P il y a quelques petites semaines. Normalement aucun problème avec les yellow cabs, vous conservez votre ticket au cas improbable ou et surveillez de près vos bagages. Un petit pourboire pour le chauffeur s’il est sympa 30/50 pesos et après un trajet de 20 à 45 minutes, en fonction du trafic, vous devez être arrivé.

N’oubliez pas de conserver 1.000 Pesos, pour la taxe de départ (750P) et une éventuelle dépense de dernière minute.

Les hôtels : la majorité des hôtels de ce quartier ne vous compteront pas de supplément si vous ramenez une compagne dans votre chambre, donc ne payez que pour une personne, single room. Les employés vous trouveront ‘’abnormal’’ si vous rentrez seul, c’est la règle, conformez vous à la règle. Il n’est absolument pas interdit de ramener une, deux ou trois … plus vous êtes gourmand, compagnes dans votre chambre.


Si vous n’avez pas réservé à l’avance je vous donne une liste d’hôtels (SGDG), mais je vous conseille, avant de montrer votre argent de : vous faire confirmer qu’il n’y a pas de supplément si vous amenez une ou plusieurs personnes dans votre chambre (99 % des cas) ; visiter la chambre avant de prendre votre décision (ils essaient souvent de fourguer leurs plus tristes chambres, donc il faut demander s’il n’y a pas autre chose) ; s’ils ont un coffre, dans la mesure ou vous souhaitez mettre certaines choses en sureté ; ne payer que pour une seule nuit, si pour une raison ou pour une autre vous n’étiez pas satisfait il vous sera facile de changer (invoquez que vous devez changer de l’argent le lendemain), se faire rembourser est souvent difficile, sinon impossible.


Attention, Ermita est un endroit à la fois touristique et plein de jeunes filles charmantes. Automatiquement cela attire les voleurs à la tire, les pickpockets et autres malfrats. Aussi, soyez vigilants et restez là où il y a du monde, évitez de vous aventurer dans les rues adjacentes et mal éclairées. Le bon sens, toujours le bon sens, j’ai entamé ma quatorzième année dans ce pays et n’ai jamais rencontré un seul problème à Ermita ou dans les environs et je ne suis pas Rambo.


Pour ceux qui souhaitent un hôtel d’une certaine qualité : le City Garden (2.000 /2.800P), Las Palmas (idem). Tous deux situés sur Mabini Street et à distance de marche de MBC.

Les endroits les plus abordables, tout en étant corrects.

Hôtel Amazonia, (a Sex Friendly hôtel), à l’intersection de M.H. Del Pilar et de Santa Monica Street. Vous n’avez pas à vous sentir gêné de revenir avec quelqu’un, ce sont les employés qui seront désappointés s’il en était autrement. Peu ou pas de prostituées aux alentours, mais rassurez vous, vous êtes à deux trois minutes à pied de MBC. Les prix : 1.250 Pesos W/aircon, short time 600 P, fan rooms 850 pesos.

Swagman hôtel, 1.300 pesos. Bonne nourriture, 411 A Flores Street, Ermita, pas loin de United Nations Avenue qui sera un de vos points de repère du secteur chaud de cet endroit de la ville. Personnel efficace et avenant, problème 8/10 minutes du MBC, difficile de ramener une compagne en marchant, obligatoire de prendre un taxi !

Southern Cross Hôtel, sur Del Pilar. Chambre standard P 1.500, de luxe P 1.800.
Duck Inn, également sur Del Pilar Street, mais plus éloigné de MBC que Amazonia.
P 1.300 pour la chambre.
City State Hôtel, toujours sur Del Pilar Street, prix P1.300 et au-dessus.
Il y a des dizaines d’autres hôtels où séjourner que ce soit sur Del Pilar, Mabini Street ou dans les rues adjacentes. Je vous ai donné une liste pour ceux qui ont un budget serré, pour ceux qui préfèrent dépenser dans d’autres postes.

Il y a également le Hyatt, un cinq étoiles qui se trouve dans le secteur et l’Intercontinental n’est pas très loin.

Pour manger, se nourrir et reprendre des forces : les fastfood, très nombreux, Pizza Hutt, MacDo, Jollibee, Donuts, … ce n’est pas ce qui manque. Les Max’s où l’on trouve un excellent poulet, les seafood restaurants (fruits de mer et poissons) où vous faites vos emplettes avec un caddy, le cuisinier se chargeant de cuire vos achats devant vous. Il y a également quelques chinois, un ou deux indiens, etc. vous ne pouvez pas mourir de faim. Compter entre P300 et P600 par jour pour la nourriture.


Ernita, Malate, c’est le quartier chaud touristique de Manille pour les touristes occidentaux, les Chinois ont leurs quartiers, de même pour les Japonais et les Coréens.
Ne vous aventurez pas dans un vidéoke bar jap ou coréen, c’est en général cher et sauf à prendre plaisir à écouter quelques asiatiques pousser (mal) la chansonnette, vous allez vous ennuyer. Les autres bars et il y en a un certain nombre, mieux vaut connaître.

Non, pour votre première, seconde … ou plus, visite au pays des 7.107 îles, allons faire un tour au L.A. Café ou ‘’la café’’ comme ils disent ou plutôt disaient ici. En effet, après une deuxième fermeture par les autorités locales … LA Café à rouvert en fin d’année dernière, sous le nom de Manila Bay Café, mais c’est le même avec peut-être plus de filles que jamais.

La Café, c’est une institution, certains n’hésitant pas à faire 20.000 kilomètres pour venir passer quelques nuits à LA Café. Ouvert en août 1999, LA Café a tout de suite été un Hit. La Café c’est un ‘’freelance Girls Bar’’, comme il n’en existe nulle part ailleurs, il n’y a aucun autre endroit au monde comme celui-ci. Ouvert 24 sur 24 heures, LA Café ne désemplit pas et passé 23 heures il vous sera difficile, sinon impossible, de trouver une place assise. Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce qu’est une freelance Girl, pour les non-initiés : une freelance Girl c’est une jeune fille qui est officiellement une consommatrice, une cliente … mais qui va vous accompagner … au dehors (une compensation est attendue et peut-être librement négociée, doit-être, avant même de bouger le petit doigt).

On trouve de tout à LA Café : cela va de la pro ou semi-pro hoocker (pas le joueur de rugby !), à l’étudiante qui doit payer son trimestre, en passant par quelques danseuses des GoGo bars d’Edsa, de la fille mère qui a besoin de nourrir son bébé, de la fille dont un parent est malade et dont il faut payer la note d’hôpital … peu de pros, mais de nombreuses occasionnelles et semi-occasionnelles. Pour 30 à 40 clients occidentaux potentiels il y a peut-être 200 filles à l’intérieur et d’autres qui attendent au dehors pour pouvoir entrer. C’est phénoménal et il y en a pour tous les goûts et couleurs.

Vous pouvez être certain, même à 9 heures … du matin, de trouver chaussure à votre pied. Et le renouvellement est constant, tous les jours de nouvelles têtes (Q ?), vous ne vous en lasserez pas. Attention il y a également quelques ‘’Baklas’’, pour les amateurs les baklas sont des gays, souvent travestis.


Parlons un peu prix !

Les boissons sont relativement abordables, spécialement de 08 : 00 à 20 : 00, pour exemple € 2 pour une bière San Miguel. Généralement l’on a tendance à s’attarder dans ce genre d’endroit et pour ceux qui sont vraiment déshydratés, je conseille de commander un mini tonneau qui doit être à P 500 pour plus de quatre litres. A plusieurs cela ce descend assez facilement. La nourriture est loin d’être excellente, mieux vaut se ravitailler à l’extérieur.

Si vous souhaitez offrir à boire aux ladies, je vous conseille d’acheter, au dehors, une bouteille de Tequila (P1.500) et d’offrir ici ou là, en fonction de vos affinités, un shoot ou deux. Elles adorent cela et sont encore plus funny quand elles ont un peu bu.

La grande différence avec la Thaïlande, pour ceux qui connaissent, c’est que les filles ici sont plus naturelles, plus souriantes, plus kool, plus amicales, plus gentilles, moins pros … et dans l’action elles sont plus physiques, plus sensuelles, plus attentionnées … l’on a plus l’impression de faire l’amour que de B….. De plus, gros avantage, elles parlent toutes l’anglais, au minimum l’anglais basique, ce qui permet quelques échanges, ce qui n’est pas le cas avec les Thaï.

Une compagne pour la nuit (le reste de la nuit) se négocie entre P500 et … cela va dépendre de la beauté de la fille, de ses besoins financiers, de son feeling pour vous, de votre habileté de négociateurs et de vos moyens financiers.
 Disons, en gros, que cela tourne, dans la majorité des cas, autour de P 1.000.
Please, ne cassez pas le coup en faisant des propositions ou des offres supérieures, vous risqueriez de vous faire des ennemis.

Le Manila Bay Café se situe à l’angle des rues M.H. Del Pilar et de Romero Salas Street. Le Café est ouvert 24/24 h et 7/7j.
Au premier étage, se trouve un bar et un orchestre qui change chaque jour, quelques tables de billard américain, une piste de danse et des jeunes filles qui vous attendent.
Généralement, les jeunes filles à l’étage sont les plus belles … à bon entendeur …
Il vous en coûtera P100 pour accéder au premier étage, mais l’orchestre plus les beautés … c’est donné.


Tous mes prix sont en Pesos philippin.
Au cours du jour 1 € = 60 pesos … faites vos comptes … sans casser votre tirelire … venez nous rejoindre.


N.B. : Je vous déconseille vivement de ramasser une fille dans la rue et attention aux filles très jeunes … trop jeunes !


Mabuhay au pays des 7.107 îles.




Comme d’habitude, expériences, critiques et commentaires sont les bienvenus.


Pour les noctambules, les amoureux de la nuit :
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